My friend Diary

Motivation improvisée

Salut mes dear readers !

J’me surprends moi même en revenant vous écrire ici, est-ce que ça va durer ? Je n’en ai pas la moindre idée.
J’viens vous écrire mais j’avoue que je n’ai pas grand chose à dire aujourd’hui, je continue à vivre ma petite vie paisible. J’veux pas avoir l’air d’être prétencieuse, mais j’ai de la chance d’être qui je suis et de mener cette vie là, où plutôt j’ai cette grâce.
Je pense qu’il est important d’être reconnaissant, de réaliser à quel point notre vie est une bénédiction comparée à d’autres. Certes je ne suis pas une star internationale, je n’ai pas l’estime de la population terrienne, et selon beaucoup je ne suis personne ; mais c’est un mensonge. Le monde veut nous faire croire que c’est seulement avec de la renommée qu’on devient quelqu’un et nous on conçoit cette idée comme des abrutis. J’vous parlais de Dieu dans mon dernier écrit et je vous disais que je l’ai rencontré et c’est tout à fait vrai. Imaginez vous seulement que vous êtes un joyau pour la personne la plus importante de l’Univers ! Et ça c’est dingue.
De nos jours la religion c’est pas super bien vu, mais moi je parle pas de religion. Y’en a marre de ces clichés et de penser que croire en Dieu c’est être embarqué dans une secte ou je ne sais quoi. En réalité ce que je vis avec lui me semble parfois plus réel et plus intense que ce que notre monde nous offre. C’est juste une relation, une véritable relation.

Anyway, j’étais pas parti pour vous dire tout ça, disons que c’était spontané.
J’aimerai bien savoir pourquoi le regard des autres nous terrifie autant ? C’est assez déroutant, parce qu’on sait pertinement que ceux qui jugent on eux même peur d’être juger et je crois qu’on a trop tendance à l’oublier. J’écris ça comme un mantra à moi même, je peux pas concevoir d’être bloquée dans mes projets juste parce que j’ai peur du "quand d’iras t-on ?", c’est absolument pathétique et terriblement humain.
Les réseaux sociaux sont devenus notre fléau numéro 1 où absolument tout est basé sur le paraître. Même moi j’ai été formaté. J’aimerai avoir les couilles de m’exprimer librement sans filtre, mais la triste vérité c’est que je ne serai pas écouté. Si je veux parler et impacter il faut aussi que je plaise et je crois qu’il faut commencer petit à petit sans oublier que je suis ma première fan, et que faire ce dont j’aspire est ma première motivation.
Vous qui me lirez d’ici quelques temps si Dieu veut, je veux nous lancer ce défi. Ce défi de faire ce dont on a envie sans avoir peur de ne pas être validé (ce que je dis est terriblement cliché mais je le pense tellement !). Je parle pas de ce faire remarquer et d’être un rebelle de la mort, j’veux juste que nos idées ne soient pas étouffées. On ne vit qu’une fois c’est bien ça ? Alors n’ayons pas de regrets et essayons ce qu’on a envie d’essayer, quittes à nous planter, plantons nous en beauté nan ?

Salut, c’était Daya.